Dans son compte rendu complètement fantasmé du conseil municipal du 14 mars 2017, non content de qualifier d’hystérique l’opposition, Julien Sanchez a sorti un argument massue :
le public est politisé !
Des citoyens qui s’intéressent à la vie de la cité et suivent régulièrement les conseils, pour lui c’est anormal…
Et vendredi matin : rebelote.
Un habitant de Pissevin ose s’opposer à la vision catastrophique que le FN a de son quartier. Et Julien Sanchez de clamer :
c’est un militant politique !
Il n’a donc pas droit à la parole.Voilà la démocratie suivant le FN !