Inondations à Beaucaire

La chaîne d’alerte prévenant les usagers du parking du Casino d’une crue n’a pas fonctionné samedi 18 mai.

Alors que les portes de la Banquette ont été fermées vers 22 h, aucun appel téléphonique n’a été lancé par les autorités pour prévenir les automobilistes des risques d’inondation. Que faisaient le maire et ses adjoints à cette heure alors que la menace était prévisible compte-tenu du niveau exceptionnel des précipitations ?

Nous demandons qu’une enquête soit conduite par élus de la majorité afin de déterminer les raisons et les origines de ce dysfonctionnement qui a privé beaucoup de conducteurs de leur moyen de locomotion. Comment se rendront-ils sur leur lieu de travail ?

M. Bourbousson doit des réponses à ses administrés sans se défausser de sa propre responsabilité.

Inondations parking du Casino à Beaucaire, mai 2013

Inondations parking du Casino à Beaucaire, mai 2013

Inondations parking du Casino à Beaucaire, mai 2013

Inondations parking du Casino à Beaucaire, mai 2013

Inondations parking du Casino à Beaucaire, mai 2013

Qui sommes-nous ?

Réagir pour Beaucaire avec Claude Dubois, la seule liste de gauche et la seule liste écologiste

Notre programme à consulter : Réagir Pour Beaucaire, le programme

Tous nos tracts : « Pour une baisse du prix de l’eau à Beaucaire », « La délégation des services publics à Beaucaire » (privatisation), « La gestion des déchets à Beaucaire », « La liste Réagir Pour Beaucaire », « L’éducation à Beaucaire », « La sécurité et la tranquillité publiques à Beaucaire ».
Accéder à tous les tracts

Résolument engagée à gauche afin de proposer une alternative à 30 ans d’une politique de droite à Beaucaire, l’association Réagir Pour Beaucaire cède la place au Collectif Réagir Pour Beaucaire.

Le travail réalisé depuis maintenant six ans par ses membres sert de socle à la constitution d’un programme de gauche pour les Elections Municipales de Beaucaire 2014. La cohérence de notre projet s’appuie sur l’ensemble de nos communications qui sont désormais disponibles en format numérique sur ce site.

Notre expertise reconnue dans les domaines de l’urbanisme, de l’environnement, de la politique de la ville, de l’agriculture dessine les contours de solutions locales et réalistes répondant aux besoins de toute la population.

La campagne est désormais lancée avec les candidatures annoncées à droite de M. Bourbousson et de M. André, deux anciens alliés qui aujourd’hui s’affrontent violemment dans des querelles stériles, Mme Arèse et le candidat FN.
De notre côté Claude Dubois et les membres du collectif Réagir Pour Beaucaire, militants associatifs, syndicaux ou politiques défendront leurs idées et leurs propositions avec conviction afin qu’une majorité conduise dès 2014 une politique dont le curseur sera vraiment à gauche.

Réagir-Pour-Beaucaire-Municipales-2014-liste-de-gauche

Lettre d’information d’avril 2013

Rassemblement du 1er mai

La célébration de la Fête du travail aura lieu cette année à 10h30 face à l’Hôtel de ville. La réalité de la crise, son impact sur l’emploi et sur la remise en cause des acquis sociaux, nécessitent que tous les acteurs politiques et syndicaux se mobilisent pour faire de cette fête un rassemblement massif. Réagir Pour Beaucaire sera présente pour soutenir toutes les initiatives qui oeuvrent pour la défense de la dignité des travailleurs.

[Edit] du 1er mai : malgré la pluie, la Fête du travail s’est déroulée dans la bonne humeur. Quelques photos de la matinée :

Rassemblement de la Fête du travail Discours du 1er mai, place de la mairie, Beaucaire Claude Dubois

Moncigale et libéralisme

Le libéralisme est à la liberté ce que la musique militaire est à la musique.

Les dizaines de licenciements prévus au sein de Moncigale sont la conséquence locale d’une doctrine économique promue par un parti politique, l’UMP, auquel appartiennent les duettistes Christophe André et Valérie Arèse. C’est en effet bien le libéralisme financier qui a permis à Belvédère de spéculer, de s’endetter puis d’utiliser les entreprises bénéficiaires du groupe pour tenter de se renflouer.

Voir ces deux UMPistes s’époumoner en conseil municipal contre le maire de Beaucaire à propos de Moncigale relève de l’imposture et du calcul politicien.

Certes le maire n’est pas exempt de reproches tant ses prises de position depuis des mois se révèlent incohérentes et déplacées. Nos deux agités veulent faire croire qu’ils auraient pu influer sur le devenir de Moncigale : pure duperie de leur part. Qu’auraient-ils fait de plus ?

Les pouvoirs des élus locaux en matière industrielle sont limités : ils peuvent créer une zone industrielle (ce que la municipalité Boyer fit dans les années 70 à Beaucaire), ils fixent le montant de la taxe locale sur les entreprises, ils peuvent accompagner un industriel dans son parcours d’installation et c’est à peu près tout.

Dans le cas de Moncigale, la ville pourrait aider les salariés, s’ils le souhaitent, à créer une scop (société coopérative ouvrière).

Une première table ronde ayant déjà eu lieu à l’automne sans résultat positif, la demande au Préfet d’une nouvelle « table ronde » réunissant tous les acteurs, y compris des représentants de la direction de Belvédère, les représentants syndicaux, mais aussi le délégué régional du Ministère du redressement productif et des membres de la Chambre d’agriculture (la viticulture serait impactée par une réduction ou la disparition de l’activité de Moncigale) peut-elle être encore envisagée ?

Face à un tel gâchis nous devons tous nous interroger : où sont les origines du mal ?

La politique ultra-libérale, où la loi du marché, la concurrence libre et non faussée, la dérèglementation, le libre-échange…, devaient tout régler après la chute du totalitarisme des pays de l’Est à la fin des années 80, est un échec.

En réalité, l’idéologie ultra-libérale ne fait qu’engendrer drames sociaux, licenciements, fermetures d’usines et chômage.

L’économie mondiale doit être encadrée, les politiques ne peuvent offrir l’humanité en pâture à la finance mondiale. A notre niveau, il nous appartient d’inciter au développement d’une économie locale qui serve une demande locale. Parce qu’un modèle construit sur une direction polonaise, un actionnariat fait de fonds de pensions caribéens et ayant ses débouchés en Chine, n’est pas viable à long terme.

L’eau dans la plaine ?

L’une des nombreuses promesses du candidat Bourbousson en 2008 est-elle sur le point d’être tenue ? C’est en tout cas ce que prétendent l’intéressé et son premier adjoint lorsqu’ils projettent de «vendre» des m³ d’eau à Fourques en raccordant le réseau de cette commune directement à la station de pompage Les Arves, propriété de la ville de Beaucaire. Cette canalisation constituerait «l’épine dorsale» à partir de laquelle toute la plaine pourrait être desservie.

L’idée n’est pas nouvelle car déjà suggérée à l’ancienne municipalité André/Cellier, mais qui l’avait rejetée à l’époque pour incompatibilité politique, le maire de Fourques ayant le mauvais goût, selon eux, de trop pencher à gauche.

Sur le papier, l’idée est séduisante : le délégataire Veolia prend en charge la pose d’une canalisation jusqu’au canal Philippe Lamour sans que la commune n’ait à verser 1 liard. En contrepartie c’est Veolia qui aurait l’exclusivité de la vente de l’eau à Fourques et cela pour une durée de 20 ans.

Alors, si vous avez aimé la reconduction du contrat d’eau et d’assainissement en 2007 pour une durée de 15 ans sans que la commune n’exerce le moindre contrôle de l’activité du délégataire, si vous avez apprécié l’attribution du marché de remplacement des branchements au plomb sans appel d’offre, signé les yeux fermés par la vertueuse Mme Cellier, alors vous adorerez la confiance désintéressée de la majorité municipale qui s’apprête à confier un chantier de plus d’un million d’euros à Veolia. Sans mise en concurrence, sans commission d’appel d’offre. En toute transparence…

La durée de l’amortissement calculée sur un coin de table est une aubaine pour Veolia qui exploiterait cette mine d’or pendant 20 ans. Vingt ans de plus à se remplir les poches sur le dos des Beaucairois.

Une autre solution est possible : organiser une commission d’appel d’offre afin de mettre en concurrence les entreprises capables de poser cette canalisation et garder la maîtrise de la vente de l’eau qui appartient aux Beaucairois sans avoir à prolonger notre «partenariat» avec l’ogre Veolia.

Budget municipal : dernier arrêt avant le terminus

Que nous apprend le budget prévisionnel de la dernière année de mandat de M. Bourbousson ? Une fois de plus que la commune a de l’argent et donc des marges de manœuvre car son volume budgétaire est largement au-dessus de la moyenne des communes de population équivalente. Malheureusement les qualités de gestionnaire de M. le Maire pèsent sur l’usage de cette manne et donc sur le niveau de service rendu aux Beaucairois. Avec un niveau d’investissement élevé on pourrait croire que le maire mise sur l’avenir. Que nenni ! A la fin de l’année comptable, le bilan montrera une fois encore que moins de 50 % des investissements auront été réalisés.

Alors pourquoi diable un tel écart entre la prévision et la réalisation si le budget est disponible ? Pour mieux comprendre, il est nécessaire de préciser le qualificatif «disponible» appliqué au budget municipal. Tout d’abord, l’augmentation constante des dépenses de fonctionnement (personnel, fêtes, etc.) fait que le montant annuel pouvant être transféré sur les opérations d’investissement est en chute libre. Il passe ainsi de 2,5 M€ en 2012 à 0,96 M€ en 2013. Ensuite parce que les opérations d’investissement sont financées dans le budget prévisionnel par des emprunts. Naturellement ces emprunts ne sont pas signés, ils ne le seront que si les opérations débutent. C’est pourquoi la municipalité ne se précipite pas pour exécuter son budget d’investissement en totalité car elle serait alors tenue d’emprunter 6 M€ supplémentaires alors qu’elle est déjà endettée à hauteur d’environ 10 M€. Elle pratique donc ce que l’on appelle couramment de «l’affichage budgétaire». C’est-à-dire qu’elle inscrit comme en 2012 une prévision d’investissement à hauteur de 13 M€ alors qu’elle sait dès le départ qu’elle n’en dépensera que 5. Il en résulte alors ce que l’on appelle un manque de sincérité budgétaire. Ceci dit, il est vrai que par les temps qui courent, sincérité et politique ne font plus nécessairement bon ménage. Alors un peu plus un peu moins…

Selon nous, faire de la politique au sens noble du terme, c’est avant tout être capables de faire des choix, de les justifier et de les assumer. Aussi le vote du budget est-il l’un des actes politiques majeurs car il est l’outil financier qui va permettre de réaliser les choix politiques. Il se doit donc à ce titre d’être «lisible». C’est-à-dire que les priorités doivent être facilement identifiables, ce qui n’est pas le cas dans la situation actuelle puisque les 5 M€ d’investissements qui seront finalement réalisés et qui sont de fait la priorité de M. Bourbousson sont perdus au milieu des 13 M€ prévus.

De notre côté, si nous sommes élus en 2014, nous nous engageons à présenter des budgets annuels sincères et à faire preuve de transparence afin que les Beaucairois comprennent vraiment quelles sont les marges de manœuvre de la commune et comment notre politique se traduirait budgétairement.

La tribune de RPB dans le bulletin municipal (mars/avril 2013)

Après les “rois fainéants” (sic), voici les “rois arrogants”

Ils se targuent de leur participation aux salons de tourisme en Europe : le Château de Beaucaire est l’unique monument de la région fermé les jours fériés et durant les vacances de Noël.

Ils plastronnent “Nouvelle signalétique urbaine, pour mieux circuler dans votre ville” : deux larges boulevards rénovés sans pistes cyclables, pourtant obligatoires depuis la loi LAURE de 1996.

Ils prétendent “donner un nouvel élan à la ville, en associant son potentiel patrimonial et commercial” : les voilà qui bradent des terrains mitoyens de la zone commerciale route de Nîmes pour y créer encore des locaux commerciaux, alors que de nombreuses surfaces restent vacantes au Forum et au cœur de la ville !
Conséquence concrète : l’opticien de la rue Nationale quitte le centre-ville.

Ils pérorent du haut de leur estrade et jugent accessoire l’avis des Beaucairois : la réunion publique du 4 février sur le Plan local d’urbanisme, enjeu majeur pour l’avenir de la ville, n’a fait l’objet que d’une maigre publicité dans la presse.

Les élus de gauche : Rose-Marie CARDONA, Claude DUBOIS et Christiane ROTT

Claude Dubois

Claude-Dubois-RPB2014Né à Beaucaire en 1955 au sein d’une famille d’ouvriers, deux enfants
Technicien agricole de formation, apiculteur professionnel depuis plus de trente ans
Elu de gauche au conseil municipal

Après le service militaire, tout en créant une exploitation apicole, j’ai travaillé dans l’agriculture, le BTP, l’irrigation et le service plein-champ de Procida jusqu’en 1983.

Mon parcours professionnel m’a naturellement orienté vers l’écologie : je mesure au quotidien les effets néfastes, radicaux et irréversibles liés à la mondialisation des échanges, à l’usage des pesticides, aux méfaits de la chimie sur notre environnement et notre santé.

Depuis 1990 je contribue avec des amis à la protection de l’environnement beaucairois mis à mal par les municipalités successives : projet de décharge départementale d’ordures à Cante Perdrix, Saria, la destruction de la colline des Caunelles en 2003 (que nous parviendrons à limiter,  32 hectares seront urbanisés au lieu des 84 prévus), projet de centrale à gaz «Poweo» au milieu du vignoble des Costières de Nîmes, … l’action pour  limiter les nuisances de l’usine Ecoval se poursuit.

Depuis 2008 en tant qu’élu municipal d’opposition je me suis impliqué plus particulièrement dans certains dossiers : Veolia, Spanc, Urbanisme, Ponton sur le Rhône, filières des Déchets ménagers.

Ce fut l’occasion de découvrir le manque d’implication des élus en place depuis 30 ans, lesquels délèguent à tout va (Veolia, SRE , Statim …) sans exercer le moindre contrôle.

Beaucaire doit se doter d’élus qui s’impliquent dans les dossiers mais aussi sur le terrain et pas seulement au premier étage de l’hôtel de ville ou autour des arènes.

Ainsi le projet de création de nombreux jardins familiaux, la baisse du prix de l’eau, la remise en cause de la taxe annuelle dûe au titre du Spanc, la réorganisation de la filière de collecte et de traitement des déchets ménagers, la défense des intérêts de la commune, la maîtrise des dépenses… sont autant d’éléments qui peuvent concourir à l’augmentation du pouvoir d’achat et à la lutte contre la précarité.

Albert Jacquard, Pierre Rabhi, Stéphane Hessel, Paul Lafargue sont des penseurs dont je me sens proche.

«La sobriété heureuse», «solutions locales face au désordre global» -deux concepts qui guident ma démarche depuis plus de trente ans- sont applicables à l’échelle d’une ville comme Beaucaire et pourraient s’avérer salvateurs.

Rose-Marie Cardona Brisson

Rose-Marie-Cardona-RPB69 ans
Enseignante à la retraite
Elue de gauche au conseil municipal

Née en Angleterre en 1944 de grands parents de nationalités belge, française, britannique et grecque, j’ai trouvé à Beaucaire mes racines. J’y suis arrivée en 1965, par amour pour un beaucairois et y ai trouvé une famille, une cité, un travail.

La première fois que j’ai vu Beaucaire, j’arrivais un soir de la gare de Tarascon et, sur le pont, j’ai été éblouie par la beauté de cette ville, les toits se blottissant autour des clochers de N.D des Pommiers et de St Paul, le château dominant le Rhône, le canal, les arbres… je garde le même amour pour cette ville, et je désire qu’elle reste belle, accueillante, qu’on y vive bien, et qu’on soit heureux d’y être.

Enseignante pendant 37 ans à Saint-Félix, je me suis investie avec jubilation dans le fonctionnement de cette institution beaucairoise. Et en même temps, je me suis syndicalisée (CFDT puis CGT) pour faire avancer et maintenir les droits des personnels enseignants et employés (sous-payés et méprisés) de l’enseignement privé.

A la retraite, je suis devenue présidente d’une association culturelle, et je me suis présentée aux élections municipales de 2008, pour que les valeurs de gauche de fraternité, de justice sociale, de prise en main de sa propre vie puissent être mises en place.

J’ai été élue, mais la majorité de Mr Bourbousson bafoue le vote des beaucairois, écarte les élus de la minorité de toute concertation, de toute participation aux prises de décision, et même de toute invitation aux manifestations de la vie beaucairoise… Il faut rétablir une vraie démocratie à Beaucaire !!

Luc Perrin

Luc-Perrin-RPB54 ans
Ancien exploitant agricole, aujourd’hui informaticien dans l’agro-alimentaire

Né en 1959 à Nîmes, j’ai toujours vécu au Mas saint Paul ou mes parents produisaient des fruits, des céréales et des légumes sur 60 hectares.

Après un début d’études scientifiques et une période en Allemagne où je rencontrais Heidrun, ma compagne, j’ai rejoint l’exploitation familiale. «Ecolo» depuis toujours et convaincu de la nécessité de vivre de façon solidaire, j’ai activement participé au système coopératif agricole et souhaité garder une exploitation agricole à taille humaine pour préserver une relation forte avec la nature.

C’est aussi pendant cette période que j’ai mené, avec un groupe de citoyens décidés et soutenus par une grande partie de la population, une lutte mémorable contre un projet de création de décharge de déchets toxiques à Cante Perdrix. Des liens durables se sont tissés et c’est là que j’ai pris goût à l’action politique.

Après plus de 20 ans passés dans l’agriculture, la passion et le plaisir diminuant, j’ai décidé de changer radicalement de métier. Je suis retourné à l’école puis ai démarré une nouvelle vie dans l’informatique. Cela m’a pris 10 ans, de missions d’intérim en contrats en CDD, pour atteindre l’objectif que je m’étais fixé : je suis, depuis 3 ans, informaticien dans une multinationale de l’agro-alimentaire.

Entre temps je n’ai pas perdu mon envie d’engagement pour le bien de tous. Je travaille dans des associations de représentants de parents d’élèves et assure aussi des mandats de représentant du personnel dans mon entreprise.

Depuis longtemps je rêve de pouvoir apporter mon engagement et mes convictions au service de ma ville. Il y a tant à faire pour rendre Beaucaire plus chaleureuse et plus solidaire avec ses habitants ! 

Alors, quand l’occasion se présente : je fonce.

Christiane Rott

Christiane-Rott-RPBNée à Strasbourg, 55 ans, deux enfants
Ancienne chargée de communication reconvertie
Elue de gauche au conseil municipal

Originaire de Strasbourg, j’ai travaillé dans une maison d’édition en Allemagne, puis en Alsace dans le théâtre et pendant 15 ans comme chargée de la communication et du marketing au Palais des Congrès de Strasbourg. Je suis donc naturellement bilingue allemand, anglais par goût pour les langues étrangères et tout simplement pour l’Autre.

Installée à Beaucaire dans le centre ancien depuis 2001, je me suis impliquée, dès mon arrivée, dans la vie quotidienne et ai été parmi les fondateurs de l’association ARCA (associations des résidents du centre ancien). En 2008, mon parcours a pris une dimension politique avec mon élection comme conseillère municipale de gauche.

Je souhaite bâtir un vrai projet de développement du centre-ville, ambitieux, courageux, pour donner un nouvel essor à Beaucaire tant en termes de qualité de vie que d’image véhiculée à l’extérieur, insuffler une nouvelle dynamique commerciale et touristique à cet espace délaissé depuis des décennies par les élus passés et actuels.

Après un récent parcours dans l’import-export, je travaille aujourd’hui pour le Ministère de la culture et de la communication.

Mickaël Manon

Mickael-Manon-RPB31 ans, marié, 3 enfants
Technicien, agent de maîtrise dans l’ industrie agroalimentaire

Natif d’ Avignon et marié à une beaucairoise c’est en 2004 que je suis arrivé dans la commune.

Issu d’un milieu ouvrier je me suis engagé en politique en militant au parti socialiste depuis plusieurs années.Voulant m’impliquer davantage dans la vie communale, et mettre en oeuvre les valeurs et les idées que je défends notamment de faire de la politique au seul service de la collectivité, de manière totalement désinteressée, sans favoritisme ni clientélisme ; j’ai après une période d’observation adhéré à l’association Réagir pour Beaucaire en 2009.

Le travail sérieux et rigoureux sur les dossiers municipaux pendant toutes ces années constitue désormais une alternative crédible à gauche lors des prochaines élections.

C’est donc tout naturellement et dans la continuité de ma démarche que je m ‘engage dans le collectif qui donnera naissance à la future liste de Réagir pour Beaucaire en 2014.

Communiqué de presse

Refuser d’entendre le désarroi et la détresse des employés de Moncigale avant le début du Conseil municipal du 10 avril dernier constitue un intolérable déni de démocratie de la part de M. Bourbousson. Après avoir dit tout et n’importe quoi sur la situation du groupe, parlant d’un retrait de l’actionnaire principal Belvédère, plastronnant en s’affichant comme le sauveur du groupe et de la totalité des emplois sur le site de Beaucaire, il fuit aujourd’hui le débat public, préférant les conversations feutrées et polies dans l’enceinte de son bureau de l’Hôtel de ville.

La situation dramatique que doivent supporter les salariés de Moncigale nécessite une mobilisation de tous les instants des responsables politiques, quels que soient leur niveau et leur étiquette, afin de constituer un front commun contre les dérives d’un capitalisme mondialisé et destructeur.

Réagir Pour Beaucaire met en garde toutes celles et ceux qui dans un passé proche défendaient une conception libérale de l’économie et qui tentent aujourd’hui de récupérer la colère légitime de salariés plongés dans l’angoisse.

Reagir Pour Beaucaire à la manifestation pour Moncigale

Maryse Savajano

Maryse-Savajano-RPBNée à Beaucaire en 1956, issue d’une grande famille (8 enfants) et d’un milieu ouvrier
A travaillé 18 ans aux Olivades (impression sur tissu), actuellement en recherche d’emploi

Je me suis impliquée dans la vie de Beaucaire à l’occasion de l’élection de la reine en 1973, c’est là que j’ai rencontré MM. Gardiol et Figuiere qui m’ont initiée aux fêtes et traditions taurines. Puis j’ai intégré un groupe folklorique, « l’Escolo dou rose », et me suis impliquée dans un club taurin dont je suis toujours membre.
En 1995 je me suis présentée aux élections municipales, j’ai fait 2 mandats en tant que conseillère municipale, un avec Bernard Deschamps, l’autre avec André Michelozzi.
Installée en centre ville depuis de nombreuses années, je constate que, malgré les nouvelles municipalités, les problèmes restent les mêmes : incivilités, mauvais état des rues et désertion des commerces.

Francis Foussard

Francis-Foussard-RPB42 ans, marié, trois enfants
Hydraulicien (prévention des inondations) au Conseil Général du Gard
Militant socialiste, secrétaire de l’association Réagir Pour Beaucaire (RPB), secrétaire de l’Association des Résidents du Quartier de la Rue Nationale (AQRN), membre de l’Association  des Parents d’Elèves Indépendants (APEI) de l’école Condamines.

Plusieurs expériences humanitaires à l’étranger dans la première partie de ma carrière m’ont fait prendre conscience que ce qui manquait le plus aux populations des pays en voie de développement c’était l’accès aux services publics de base tels que l’éducation, l’eau ou la gestion des déchets. C’est donc cette prise de conscience qui m’a dirigé naturellement vers l’exercice de mes compétences au sein des collectivités territoriales avec comme leitmotiv la défense au quotidien des services public locaux au bénéfice de la population.

De là est né aussi mon engagement politique qui a débuté par ma participation à la liste «Réagir Pour Beaucaire» conduite par Georges Cornillon lors de la campagne des municipales de 2008 à Beaucaire, ville où j’habite depuis 2007.

Président de l’association Réagir Pour Beaucaire qui aide les élus d’opposition de gauche à préparer les conseil municipaux pendant plusieurs années, j’ai appris à connaître la ville, ses habitants, et la façon dont elle était gérée. Conscient de ses faiblesses, pauvreté, clientélisme, racisme, etc., mais aussi de ses forces, situation géographique, patrimoine, jeunesse, etc., la recherche d’un projet qui nous permette de vivre et d’inventer ensemble le Beaucaire de demain est une aventure passionnante que je partage au quotidien avec le collectif citoyen de Réagir Pour Beaucaire.

En charge du dossier sécurité, prévention de la délinquance et politique de la ville j’espère que les suffrage nous donnerons l’opportunité de pouvoir replacer l’humain au cœur du dispositif en réorientant notamment les missions des policiers municipaux vers le travail de proximité. Ceci pour en finir avec le «tout technologique» froid et paradoxalement aveugle, fait de caméras et de vidéo-verbalisation.