Quel que soit le temps, mais surtout en période estivale, un parfum «fécal» se dégage de la station de relevage des eaux usées située route de Saint-Gilles. Ces odeurs viennent alors titiller les narines «réjouies» des riverains et des passants.
En cas de pluies intenses, la station est saturée et la route de Saint-Gilles se transforme en «cloaque» d’où jaillissent des geysers d’eaux usées. Dans ces circonstances, riverains et passants devraient s’équiper de tenues étanches afin d’éviter tout risque de contamination.
La route de Saint-Gilles est de plus caractérisée par une circulation à forte allure des automobiles, ce qui, combiné à l’inondation de la route, augmente d’autant les risques de projections d’eaux usées et d’aquaplaning. La vitesse limite signalée par des panneaux a beau être de 50 km/h, rares sont ceux qui la respectent et ce malgré un trafic de centre-ville. Faudra-t-il un accident mortel pour que des ralentisseurs soient enfin installés ?
Pourquoi le Maire ne sollicite-t-il pas le Conseil Général, propriétaire de la voirie, pour qu’il effectue ces travaux peu coûteux et de bon sens ? Pourquoi ne demande-t-il pas à Veolia, délégataire du service public de l’assainissement, de revoir l’entretien et le dimensionnement de la station de relevage ?
Qu’il s’agisse de l’assainissement ou de la voirie, les riverains ont sollicité M. Bourbousson à moult reprises, mais ce dernier n’a jamais donné suite. RPB soutiendra toute initiative prise par les riverains et leur association «Les Aires» : pétitions au Maire, au Conseiller général du Canton, barrage de route, etc…, afin qu’enfin des mesures soient prises. Laissez nous vos suggestions d’action sur notre site, rubrique contact, ou en commentaire.