Urbanisme à beaucaire : 30 ans d’anarchie et de gaspillage

30 ans d’anarchie et de gaspillage

Depuis 30 ans les André père et fils, Cellier, Arèse, Bourbousson ensemble ou séparément, gèrent cette ville et notamment l’urbanisme.

Leur approche, très simpliste, s’appuie sur deux idées :
l’observation aveugle des directives du SCOT (Schéma de cohérence territoriale) pour atteindre 20 000 habitants en 2025, ce qui se traduit par l’ouverture des terrains à l’urbanisation, coûte que coûte, comme on pouvait le lire alors dans « Beaucaire Info » ou dans leurs programmes électoraux en 2008, tout en faisant plaisir aux promoteurs, les terrains agricoles en périphérie urbanisés un jour ou l’autre, ce qui se traduit par l’étalement de la zone urbaine au sud et à l’ouest. La surface urbanisée de Beaucaire fut multipliée par 2,5 en 25 ans, générant un formidable gaspillage du foncier tout en détruisant en parallèle les possibilités d’une urbanisation future harmonieuse.

Résultat : le déclin du petit commerce du centre-ville déserté par ses habitants au profit de la périphérie, l’arrivée de nouveaux résidents à faibles revenus en centre ancien, l’absence de lien entre anciens et nouveaux Beaucairois, l’environnement massacré sous l’assaut des pelleteuses en périphérie, l’augmentation de la circulation automobile, …
Dès son arrivée en 2008, le maire actuel a voulu urbaniser 240 ha au-delà de la rocade. L’Etat l’en a dissuadé.

Notre approche : que veut-on pour les Beaucairois en termes de logements, d’environnement, de commerces, de transports, de liens, … ?
Nous vous proposons une rupture avec les pratiques en cours depuis 30 ans en vue d’une utilisation harmonieuse de l’espace urbain beaucairois par ses habitants.

Cela passe par :

  • une réelle volonté de revalorisation du centre ville et son gisement de 600 logements vacants, avec l’aménagement d’espaces de détente, la création de vide,
  • le maintien et le développement des services au public, du commerce et de l’artisanat,
  • une action forte en faveur des déplacements doux (pistes cyclables, espaces piétons),
  • l’aménagement en périphérie immédiate de nombreux jardins familiaux afin de créer une ceinture verte et de lutter contre le désoeuvrement, la précarité, la malbouffe,
  • l’arrêt de l’étalement urbain afin de protéger les terres agricoles, la densification maîtrisée des secteurs ayant perdu leur vocation agricole,
  • la limitation des déplacements quotidiens grâce à la construction d’équipements publics (écoles, lieux de rencontre, …) dans les quartiers périphériques,

Toutes ces actions concourent à ouvrir de nouvelles perspectives dans une ville sclérosée par 30 ans de gestion à court terme sans vision globale des enjeux urbanistiques et de leurs effets sur le quotidien des utilisateurs.

Editorial des 3 singes n°9 (1e semestre 2013)

Les multiples rebondissements politico-judiciaires, l’inefficacité des décisions prises tant au niveau national que local, conduisent les Français en général, les Beaucairois en particulier, à rejeter tout ce qui touche de près ou de loin à la politique.
Le maire de Beaucaire déclare régulièrement en public qu’il ne fait pas de politique, suivi de près par ses opposants de droite qui justifient leur engagement par amour pour leur ville. Balivernes !

Ces belles déclarations ne font pas oublier que ceux qui s’affrontent aujourd’hui, Valérie Arèse, Christophe André, Michel Abric, Jean-Pierre Cambi, Jacques Bourbousson, sont tous issus du même sérail. Ils ont tous appartenu aux mêmes majorités dirigées par Jean-Marie André et sont donc comptables et responsables de l’état actuel de Beaucaire.

La sécurité ? Cela fait 30 ans que ce thème est repris par la droite et l’extrême-droite beaucairoise à la veille d’élections. Les caméras
de vidéo-surveillance devaient faire des miracles. Mais qui peut croire aujourd’hui qu’elles sont efficaces pour prévenir les incivilités et la délinquance ?

L’urbanisme ? Cela fait 30 ans que le territoire est vendu aux promoteurs immobiliers et aux grandes enseignes commerciales. L’extension irréfléchie de la ville à l’ouest, poursuivie par Jacques Bourbousson avec le projet de création d’un quartier sur le site de La Tapie, est une impasse. Le centre ancien a été délaissé par les responsables politiques qui n’ont rien fait pour le rendre attractif pour les Beaucairois, loin s’en faut ! Occupons-nous des résidents actuels avant de penser à faire venir de nouveaux habitants !
En 2014, il faudra faire le bilan de 30 ans de gestion de la ville par le même clan.
En 2014, place à la Politique !
Claude Dubois

Tract n°2 : 30 ans de privatisation à Beaucaire, ça suffit !

Depuis 30 ans, les élus en place ne s’estiment pas compétents pour gérer eux-mêmes les affaires de la commune.
Depuis 30 ans, ils délèguent aux entreprises privées sans exercer le moindre contrôle.
Réagir Pour Beaucaire pense le contraire et estime que la collectivité a les moyens humains et financiers pour agir.
30 ans de privatisation, ça suffit !

Consultez notre tract du mois de juin si vous ne l’avez pas reçu dans votre boîte aux lettres :

(clic sur le lien ci-dessous)

Réagir pour Beaucaire : tract sur la privatisation

Réagir pour Beaucaire 2014 : Stéphane Linossier, président du Collectif, et nos 3 élus d’opposition :  Rose-Marie Cardona, Christiane Rott et Claude Dubois

Réagir pour Beaucaire 2014 : Stéphane Linossier, président du Collectif, et nos 3 élus d’opposition : Rose-Marie Cardona, Christiane Rott et Claude Dubois

Communiqué de presse

M. Bourbousson condamne le meurtre du jeune militant d’extrême gauche dans le Midi Libre du 8/06. Nous aussi. Il rejette toute forme d’extrémisme sauf quand un parti d’extrême droite, le FN, lui apporte son soutien en 2008 par la voix de son responsable départemental.
Il essaye de faire oublier qu’il y a dans sa majorité des sympathisants FN qui tiennent les bureaux de vote au nom du FN pendant les scrutins électoraux.
Tenter de faire croire que M. Bourbousson est le rempart républicain en 2014 face à une liste FN est une imposture.

Lettre d’information de mars 2013

Bourbousson et le FN

Jacques Bourbousson cultive l’ambivalence politique comme d’autres les navets.

Il s’affiche en 2012 aux côtés du Front National qui manifestait contre l’organisation d’un colloque à Nîmes par la Fédération Française du FLN.

Il boude les cérémonies du 19 mars célébrant le cessez-le-feu en Algérie signé en 1962 et mettant fin officiellement au conflit armé qui opposa la France à son ancienne colonie. Cette date, vivement contestée par le FN et par certains élus de la droite décomplexée comme MM. Estrosi et Ciotti, marque pourtant la reconnaissance par l’Etat français de la réalité d’une guerre atroce qui à l’époque ne disait pas son nom.

M. Bourbousson ne crachait pas sur le soutien officiel du FN en 2008 qui lui a permis de gagner la mairie et n’hésitait à se montrer aux côtés d’Antoine Boyer qui en était alors le représentant cantonal. Quels sont les gages idéologiques qu’il a donnés aux responsables de ce parti pour obtenir l’appui des instances départementales de l’extrême droite ? Peut-il nier aujourd’hui qu’il a dans son équipe des personnes qui partagent ces idées ? Ces mêmes personnes seront-elles sur la liste présentée par le FN comme le déclarait il y a peu l’ambitieux M. Sanchez ou le suivront-elles au regard de l’investissement médiatique de certain(es) adjoint(es) ? Jacques Bourbousson restera le facilitateur du FN, pas un barrage.

L’humanisme qu’il revendique s’arrête aux frontières de son électoralisme. Si hier il draguait en bon politicien de droite les voix du FN, il tente aujourd’hui de faire oublier ce passé compromettant tout en envoyant des signes d’allégeance à une partie de cet électorat. La ficelle est grosse, épaisse, mais conforme aux choix tactiques de notre homme.

Prétendre être le seul rempart face à une candidature FN en 2014 est une imposture dangereuse qui ne fait que conforter ceux qui n’accordent plus aucun crédit aux élus de la République.

Le Grand Mamamouchi

Qu’il est difficile de ne pas penser à ce personnage sorti tout droit de l’imagination de Molière lorsque l’on connaît la vie et l’œuvre de l’actuel maire de Beaucaire.

Sa dernière trouvaille : être le sauveur de la tauromachie, sous toutes ses formes, à travers une fondation.

L’idée n’est pas dénuée d’intérêt, mais quelle chance a-t-elle d’aboutir si elle n’est pas avant tout portée par les principaux acteurs des traditions taurines ?

Vendredi 15 mars au casino municipal, le grand Mamamouchi a profité de la présentation de la saison taurine pour dévoiler son projet : une arène de 1200 places, un internat pour 150 élèves, une carrière et des écuries pour les chevaux, des salles de cours, une chapelle, des professeurs issus du milieu taurin (qu’il faudra bien payer), … tout cela dans le cadre d’une section « sport étude ».

Et pour faire plus vrai, le grand Mamamouchi en fait des tonnes, n’hésitant pas à faire monter sur la scène -c’est ainsi qu’il qualifie dans un lapsus révélateur l’estrade posée en contrebas- tous les acteurs médiatisés du mundillo présents dans la salle. On n’en fait jamais assez.

Dans leurs interventions, certains, sentant le piège, restent très prudents, s’en tenant à la programmation de la temporada, d’autres s’y engouffrent espérant peut-être des retombées sonnantes et trébuchantes, d’autres encore font semblant de jouer le jeu.

Combien sont dupes ?

Où serait implanté ce vaste programme qui, soit dit en passant, ne figure pas dans le projet communal de Plan d’Aménagement et de Développement Durable présenté en présence du maire dans le même lieu un mois plus tôt ? Mystère.

Combien ça coûte, comment on finance ? Là encore, mystère, et puis, peu importe, tout ça n’est qu’un détail après tout.

L’essentiel est ailleurs pour Bourbousson : ce qui compte c’est l’effet d’annonce dans la perspective des prochaines élections municipales.

Il réussira bien à gratter quelques voix de plus avec ça.

Un homme attentionné

  • Obtenir un permis de construire pour son fils en zone inondable alors que la DDASS s’y est opposée
  • Obtenir 40 000 € pour sa sœur qui quitte la fonction publique pour créer son entreprise
  • Obtenir de Veolia qu’elle fasse passer un tuyau d’eau potable sur lequel il pourra se raccorder à 150 m de sa maison située en rase campagne

Qui pourra encore dire que Jacques Bourbousson n’a rien fait pendant son mandat ?

Quizz

Quel candidat aux élections municipales de 2014 a approuvé en mars 2003 une augmentation de 23,90 % de la taxe foncière à Beaucaire ?

Quel candidat aux élections municipales de 2014 a approuvé en mars 2003 une augmentation de 13,19 % de la taxe d’habitation à Beaucaire ?

Quel candidat aux élections municipales de 2014, déjà élu en 2002 sur la liste de son père, empochait 10 491 € par an au titre de « conseiller municipal délégué » ?

Quel candidat aux élections municipales de 2014, déjà élu en 2002, observait, impuissant, les incivilités, les dégradations, le saccage du centre-ville de Beaucaire (voir Midi Libre des 3 avril 2004, 5 janvier 2005, …) ?

Quel candidat aux élections municipales de 2014 a soutenu en 2007 le projet POWEO (centrale thermique à gaz très polluante) sur le territoire des Costières ?

Quel candidat aux élections municipales de 2014 a approuvé en 2007 le renouvellement du contrat d’eau potable à Veolia alors que cette société a laissé se dégrader le réseau pendant des décennies ?

Quel candidat aux élections municipales de 2014 a approuvé en mars 2003 l’urbanisation de la colline des Caunelles pour la livrer à un promoteur qui l’a massacrée ?

Réponse : Christophe André qui, malgré ce lourd passif, essaye aujourd’hui de nous faire croire qu’il est un homme neuf en politique.

Liste d’union de la gauche en 2014

Nous publions la lettre envoyée aux représentants locaux du Parti Socialiste, du Parti Communiste et du Front de Gauche pour engager le débat sur la constitution d’une liste de Gauche unique pour les élections municipales de 2014.

L’ambition affichée par l’association Réagir Pour Beaucaire n’est pas utopique. Après 30 ans de gestion de la ville par une droite décomplexée avant l’heure, après la fausse alternance qu’a connue la ville en 2008 avec l’élection de M. Bourbousson et de sa majorité hétéroclite, il est probable que les Beaucairoises et les Beaucairois envisagent avec impatience le retour de la gauche aux commandes de la ville.

Depuis quatre ans, conformément à ses statuts, Réagir Pour Beaucaire affiche son volontarisme aux côtés de ses trois élus au conseil municipal. L’étude approfondie de l’ordre du jour de chaque conseil municipal, l’organisation de débats citoyens sur des dossiers dont la gestion incombe directement à la ville ou à la communauté de communes renforcent notre légitimité à gauche.

La publication de notre journal semestriel rendant compte de notre travail et la rédaction d’une lettre mensuelle numérique traitant d’une actualité plus immédiate nous permettent d’exister sur le terrain médiatique et ainsi d’être reconnus au sein de la population.

Notre travail d’enquête sur le terrain nous a conduits à élaborer des propositions qui constituent de vraies alternatives et qui doivent former le socle d’un authentique programme de gauche à mettre en œuvre tant au niveau communal que communautaire.

Forts de la diversité de nos membres, citoyens engagés dans le monde associatif, sympathisants et membres des grands partis de gauche, c’est fraternellement que nous vous invitons à venir débattre avec les membres du conseil d’administration de Réagir Pour Beaucaire en vue de la constitution d’un programme et d’une liste qui fédéreraient l’ensemble des forces de la gauche beaucairoise.

Cette réflexion indispensable ne s’improvise pas, c’est pourquoi il nous apparaît opportun d’engager les discussions dès à présent afin qu’une vision partagée de notre action future, tant au niveau communal, intercommunal que cantonal, émerge pour rendre la victoire possible à partir de 2014.

Sans le rassemblement de tous les Partis de gauche et sans le dynamisme de toutes et tous, la victoire de la Gauche ne peut se concevoir.

Bien solidairement,

Le Président

Stéphane LINOSSIER

Copie : Midi-Libre

Lettre d’information de juin 2012

Bourbousson est-il de gauche ?

Les électeurs beaucairois sont des ingrats. Ils ne sont que 840 à avoir reconnu le génie politique de M. Bourbousson qui s’emploie depuis maintenant quatre ans à «ne pas faire de politique» mais qui, en revanche, pratique allègrement la valse politicienne.

Le dernier pas de danse de notre chef de ballet l’a conduit à dépêcher deux de ses adjoints -Mme Deydier et M. Corrias- à la permanence de Françoise Dumas, la candidate socialiste, au soir du deuxième tour des élections législatives afin d’y célébrer sa victoire. Du grand art, quand on sait qu’un tract anonyme (hum hum…) dénonçait les palinodies de son concurrent à droite dans une feuille finement intitulée «La droite oui, Lachaud non». Préfiguration de la prochaine bataille municipale au cours de laquelle les Beaucairois devront supporter les boules puantes que ne manqueront de se lancer les multiples listes de droite ?

Certains grattent les fonds de tiroir pour arrondir leurs fins de mois, M. Bourbousson racle les fonds d’urne. Homme public sans parti, sans vision et sans projet, au centre d’un jeu qui le dépasse, il ne lui reste plus qu’à invoquer des forces surnaturelles pour espérer rebondir après ce cuisant échec en essayant de persuader les naïfs qu’il pèse encore quelque chose à Beaucaire.

RPB fait de la politique

Faire de la politique à Beaucaire, c’est défendre les intérêts de ses habitants. C’est, par exemple, agir pour le pouvoir d’achat en réclamant régulièrement une baisse du prix de l’eau car le délégataire historique Veolia doit rendre des comptes et de l’argent. C’est aussi réfléchir à une autre politique sécuritaire en insistant sur le principe de redéploiement des policiers municipaux sur le terrain car les caméras sont inefficaces pour prévenir l’incivisme et la délinquance. C’est encore faire de la politique que de demander une compensation à la ville de Tarascon qui construit un port sur notre territoire.

C’est surtout défendre l’emploi quand celui-ci est menacé : c’est le cas pour les vingt-trois salariés d’Ecoval et c’est dans ce sens que nous avons écrit à tous les partenaires du syndicat mixte Sud Rhône Environnement : la lettre.

Dans sa réponse confuse à un article du Midi Libre consacré au sujet, Hélène Deydier s’interroge sur les motivations de notre action et nous place du côté des actionnaires de Theolia. Voilà une affirmation qui risque de déstabiliser nos plus virulents adversaires à droite qui voient en nous d’indécrottables gauchistes !

Faites de la politique !

Et le prochain journal ?

Les fidèles lecteurs de notre journal Les Trois Singes ne trouveront pas leur semestriel dans leur boîte aux lettres au mois de juin. La raison en est simple : après une très longue campagne présidentielle suivie de près par celle des législatives, nous avons souhaité marquer une pause afin de permettre aux citoyens de reprendre leur souffle.

Pas d’inquiétude cependant pour les mois à venir puisqu’un numéro est d’ores et déjà programmé pour la fin de l’année 2012.

A bientôt !

N’oubliez pas la Fête des Libertés !

Si nous sommes élus en 2014

Parce que nous croyons à la notion d’exemplarité d’une collectivité, de son administration et de ses élus, nous engagerons une politique éco-exemplaire en matière de gestion des déchets. Achats éco-responsables pour des équipements communaux, optimisation de l’utilisation des consommables et des outils informatiques, alternatives à l’abandon afin de privilégier la réutilisation, développement d’outils de tri au sein de l’administration, ces démarches doivent permettre de légitimer auprès du grand public les actions de sensibilisation et peut créer une dynamique et une mobilisation des citoyens.

Parce que la maîtrise des coûts de la collecte et du traitement des déchets devient une priorité à l’échelle nationale, il conviendra de renforcer la politique de tri sur le territoire communal (actuellement la plaine n’est pas concernée par la collecte de sacs jaunes) et d’initier à travers un plan local de prévention une réflexion sur les possibilités de réduction à la source des déchets. Il s’agit par exemple de promouvoir le compostage individuel pour celles et ceux qui le peuvent (les contraintes imposées par le stockage de poubelles pour une famille vivant en appartement ne sont pas les mêmes qu’une personne vivant seule dans un pavillon), de soutenir les initiatives et démarches exemplaires de particuliers ou de groupes appartenant à une même copropriété (avec expérimentation d’une taxe incitative récompensant les foyers qui produisent peu de déchets).

Parce qu’on ne délègue pas un service sans exercer un contrôle de l’activité du délégataire -l’exemple Veolia est un cas d’école- une attention particulière sera portée à la situation de l’entreprise Ecoval. Des solutions pour pérenniser son activité actuellement menacée devront être discutées par les acteurs (syndicat mixte et entreprise) afin qu’ils parviennent enfin à maîtriser les coûts du traitement et ainsi contenir la hausse des impôts, voire les baisser.

Caricature RPB