Vous connaissez l’enfer de Matignon : un premier ministre pressuré par la démagogie et le clientélisme de son patron.
Eh bien il semblerait qu’à notre échelle, nous assistions au même phénomène : Un Bourbousson qui dit oui à tout le monde et derrière un premier adjoint qui rame pour donner un peu de cohérence aux actions municipales.
Courage M. Ledur, plus que 4 ans…